Mes regards furent accablés
('Anati-l-absâr, version 1)
Traducteur inconnu
***
Mes regards furent accablés,
Le jour où Il apparut parfaitement manifeste
L'irrésistible violence du Bien Aimé,
Me suffit comme excuse
Chose troublante,
Qui éblouit les intelligences
Je L'ai connu,
Lorsqu'en moi Il apparut
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
C'est un Secret caché,
Qui a rendu impuissant
Tout autre que moi
Si nombreux Ses aspects !
Qui donc sait
Que certes, Il peut se révéler
Comme l'ardeur de la braise
Gloire à Allah ! De moi désormais
Il ne se cache plus
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
Les esprits évoluent
Dans la Présence Très Sainte
Si tu voyais ô compagnon,
Ce qui est derrière le vêtement
C'est comme un flambeau
Dans la niche du monde sensible
Son sens intime,
S'exprime dans toutes les formes
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
J'ai crié haut l'Amour,
Je L'ai divulgué parmi les êtres
J'ai dis : ô vous les nobles biens aimés,
Je L'ai trouvé !
Et les hommes cependant,
Tous plongés dans le sommeil
En est-il un seul,
Pour dire qu'il L'ait vu ?
Par dieu je le jure,
Jamais de moi Il n'est caché
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
Tout ce qui peut se dire,
En dehors du Bien Aimé est vanité
Une impossibilité
De toute existence dénuée
Tout est illusion,
Que la réalisation annihile
Excepté le visage d'Allah,
Qui suffit au voyant
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
Ô voyant !
Si tu n'es pas trop ébloui, médite,
Qui donc Se manifeste par la création ?
Si tu réponds :
C'est Allah le Bien Informé,
Nous te dirons voile ce secret
Et ce que tu entends venant de moi,
Comme que c'est Allah Lui-même
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
En vérité je suis un sage,
En ces sciences j'excelle
De toute éternité
Je suis sans égal parmi les êtres
Peu importe le détracteur
Incapable de rien saisir
Insouciant d'Allah,
Il ignore mon art
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
S'il pouvait se réveiller
De la torpeur du monde sensible
Et jusqu'à la Présence Très Sainte,
Prendre un compagnon
Tel que moi digne de confiance
En cette station de l'intimité
Et que sincère en Allah
Il saisie ce que je laisse entendre
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
Certainement parmi les sciences,
Il en est qui témoignent
Que je suis unique
En cette station sublime
Saches mon aspirant mon nom
Et parle et guide
Benalioua a sur toi ascendant
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil.
('Anati-l-absâr, version 1)
Traducteur inconnu
***
Mes regards furent accablés,
Le jour où Il apparut parfaitement manifeste
L'irrésistible violence du Bien Aimé,
Me suffit comme excuse
Chose troublante,
Qui éblouit les intelligences
Je L'ai connu,
Lorsqu'en moi Il apparut
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
C'est un Secret caché,
Qui a rendu impuissant
Tout autre que moi
Si nombreux Ses aspects !
Qui donc sait
Que certes, Il peut se révéler
Comme l'ardeur de la braise
Gloire à Allah ! De moi désormais
Il ne se cache plus
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
Les esprits évoluent
Dans la Présence Très Sainte
Si tu voyais ô compagnon,
Ce qui est derrière le vêtement
C'est comme un flambeau
Dans la niche du monde sensible
Son sens intime,
S'exprime dans toutes les formes
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
J'ai crié haut l'Amour,
Je L'ai divulgué parmi les êtres
J'ai dis : ô vous les nobles biens aimés,
Je L'ai trouvé !
Et les hommes cependant,
Tous plongés dans le sommeil
En est-il un seul,
Pour dire qu'il L'ait vu ?
Par dieu je le jure,
Jamais de moi Il n'est caché
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
Tout ce qui peut se dire,
En dehors du Bien Aimé est vanité
Une impossibilité
De toute existence dénuée
Tout est illusion,
Que la réalisation annihile
Excepté le visage d'Allah,
Qui suffit au voyant
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
Ô voyant !
Si tu n'es pas trop ébloui, médite,
Qui donc Se manifeste par la création ?
Si tu réponds :
C'est Allah le Bien Informé,
Nous te dirons voile ce secret
Et ce que tu entends venant de moi,
Comme que c'est Allah Lui-même
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
En vérité je suis un sage,
En ces sciences j'excelle
De toute éternité
Je suis sans égal parmi les êtres
Peu importe le détracteur
Incapable de rien saisir
Insouciant d'Allah,
Il ignore mon art
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
S'il pouvait se réveiller
De la torpeur du monde sensible
Et jusqu'à la Présence Très Sainte,
Prendre un compagnon
Tel que moi digne de confiance
En cette station de l'intimité
Et que sincère en Allah
Il saisie ce que je laisse entendre
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil
***
Certainement parmi les sciences,
Il en est qui témoignent
Que je suis unique
En cette station sublime
Saches mon aspirant mon nom
Et parle et guide
Benalioua a sur toi ascendant
***
Louange à Allah pour ce qu'a vu mon œil.
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