Vous qui résidez en moi
(Ya sakina-l-hacha, version 2)
Traduit par Abdul-Jamil (Johan Cartigny)
***
Vous qui résidez en moi, de grâce point trop de hâte
Ô Généreux, traitez donc votre demeure avec douceur.
Bienvenue, bienvenue, O vous en qui s'élancent
Mon cœur et mon intelligence saisis par l'amour.
***
Puisse-t-il l'amour ne m'avoir laissé‚ aucune issue
Afin de ne plus voir autre que vous dans le monde
Car n'est-il pas en faute celui qui voit autre que vous !
Et certes faire le péché‚ la n'est pas notre affaire
***
Mais ne l'évite en fait que celui qui délaisse le tout
Et qui ne voit pour autre que vous nulle place.
Cela compagnon, c'est pour les gens de l'Union
Parce qu'ils sont les exultant et qu'ils ont détruit le monde.
***
Ils ont tout abandonné‚ de leur famille et de leurs amis
Des qu'ils ont pris conscience de ce que cache l'intime des créatures.
La réalisation leur a fait trouver que toute manifestation
est identique a son origine.
***
La vague n'est plus aperçue quand la mer s'étend de toutes parts.
Quand le soleil se lève toute étoile s'efface !
La lune ne se voit que dans l'obscurité.
Tels sont les connaissant lorsque Layla parait
***
Il ne reste pour eux dans les deux mondes aucune illusion.
Son apparition les oblige à s'isoler et de l'élite et du commun.
Leur station est au-delà de l'atteinte d'une souillure
Et leur ‚état dispense de tout commentaire.
***
Lorsqu'ils prient, le Tout est leur Qibla
Ou qu'ils aillent, leur désir s'accomplit.
C'est en toute clarté‚ qu'ils contemplent le Vrai
Leur Proximité‚ se maintient sans la moindre Césure.
***
Dans leur breuvage, amertume devient douceur
Leur langage contient une ambroisie et un achèvement parfait.
Leur puissance fuit se plier le Tout
Dans leur présence le Vrai se perpétue.
***
Qu'ils se réjouissent, ils ont obtenu la faveur surabondante
Ils vivent dans la joie tirant profit .
Puisque les a appelés Celui qui n'a pas de semblable.
Et qu'ils ont répondu à son appel comme il se doit.
(Ya sakina-l-hacha, version 2)
Traduit par Abdul-Jamil (Johan Cartigny)
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Vous qui résidez en moi, de grâce point trop de hâte
Ô Généreux, traitez donc votre demeure avec douceur.
Bienvenue, bienvenue, O vous en qui s'élancent
Mon cœur et mon intelligence saisis par l'amour.
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Puisse-t-il l'amour ne m'avoir laissé‚ aucune issue
Afin de ne plus voir autre que vous dans le monde
Car n'est-il pas en faute celui qui voit autre que vous !
Et certes faire le péché‚ la n'est pas notre affaire
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Mais ne l'évite en fait que celui qui délaisse le tout
Et qui ne voit pour autre que vous nulle place.
Cela compagnon, c'est pour les gens de l'Union
Parce qu'ils sont les exultant et qu'ils ont détruit le monde.
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Ils ont tout abandonné‚ de leur famille et de leurs amis
Des qu'ils ont pris conscience de ce que cache l'intime des créatures.
La réalisation leur a fait trouver que toute manifestation
est identique a son origine.
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La vague n'est plus aperçue quand la mer s'étend de toutes parts.
Quand le soleil se lève toute étoile s'efface !
La lune ne se voit que dans l'obscurité.
Tels sont les connaissant lorsque Layla parait
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Il ne reste pour eux dans les deux mondes aucune illusion.
Son apparition les oblige à s'isoler et de l'élite et du commun.
Leur station est au-delà de l'atteinte d'une souillure
Et leur ‚état dispense de tout commentaire.
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Lorsqu'ils prient, le Tout est leur Qibla
Ou qu'ils aillent, leur désir s'accomplit.
C'est en toute clarté‚ qu'ils contemplent le Vrai
Leur Proximité‚ se maintient sans la moindre Césure.
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Dans leur breuvage, amertume devient douceur
Leur langage contient une ambroisie et un achèvement parfait.
Leur puissance fuit se plier le Tout
Dans leur présence le Vrai se perpétue.
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Qu'ils se réjouissent, ils ont obtenu la faveur surabondante
Ils vivent dans la joie tirant profit .
Puisque les a appelés Celui qui n'a pas de semblable.
Et qu'ils ont répondu à son appel comme il se doit.
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