Sharafu-Din Abu Süleymân Dawûd (al-Kabîr) ben 'Omar ben Makhlâ (al-Mâkhlî) al-Kahârî al-Iskandarî. Un des plus illustres saints hommes de Dieu et des plus célèbres par leur pureté de l'âme. Il avait un statut prestigieux dans le dévoilement. Il fut disciple et compagnon de Tâju-Dîn Ibn Atâ Allah al-Iskandarî.
Né et décédé en Alexandrie. Il était, qu'Allah soit satisfait de lui, un fonctionnaire de police au service du Gouverneur d'Alexandrie. Lors des procès verbaux, il prenait place en face du gouverneur. Il y avait entre eux un signe que lançait Dawûd al-Mâkhlî et que le gouverneur comprenait si l'accusé était coupable ou innocent, et il condamnait ou pas l'accusé selon le dévoilement de Dawûd.
Il parlait au niveau de la voie (du Tasawwûf), et ses paroles était d'un très haut niveau de connaissance bien qu'il était analphabète, ne sachant ni lire, ni écrire.
Il récitait souvent ces vers :
Tu T’Es manifesté
Et aux yeux de personne Tu n’Es caché
Sauf pour l’aveugle
Qui ne connaît point la lune !
Puis Tu T’Es voilé des regards
Ô l’Absolu
Et comment Se montre
Celui qui par la blancheur s’Est caché
Parmi ses paroles, qu'Allah soit satisfait de lui :
Dans son livre intitulé «'Aïn al-Haqâïq», il commente la parole du prophète Muhammad, qu'Allah lui adresse Ses prières et Ses salutation, qui est : «Les actions ne valent que par les intentions, et chaque personne reçoit le mérite selon son intention.» Il dit : selon le niveau de ta motivation dans tes intentions, sera le niveau de ton grade vers ton monde intérieur.
La raison de l'existence des maux et des causes nuisibles, est l'éloignement (de Dieu) et le voile ! Celui qui est témoin de l'illumination de son cœur, saura que la soumission au Seigneur des seigneurs, est nécessaire pour le serviteur qui n'est pas possesseur de maux.
Le saint a deux lumières : l'une est tendresse et miséricorde par laquelle il attire les gens qui sont sujets d'attention, et l'autre est débordement, orgueil et oppression par laquelle les gens de la débauche sont repoussés. Car le saint navigue entre les cercles de la vertu et de la justice. S'il est mis dans le cercle de la vertu, il sera visible, attirant et bénin. Et s'il est mis dans le cercle de la justice et de l'orgueil, il sera invisible, caché et repoussant. C'est pour cela que pour les uns, les gens affluent vers eux et fuient les autres.
Plus le serviteur connaît l'accroissement du savoir, plus s'accroit sa dépendance et son aspiration (à Dieu), et sa motivation s'amplifie d'avantage. Car, dans l'ignorance, il demande la connaissance, et dans la connaissance, il demande qu'elle soit évacuée.
L'information est en plusieurs degrés, elle n'a ni fin ni limite. Quel étonnement lorsqu'une envie s'abreuve, elle s’enflamme d'avantage et sa passion s’accroit.
L'un des plus grands dons après la foi en Dieu et Ses anges, à Ses livres et Ses messagers, serait la foi en la lumière de la sainteté «al-Wilâya», qu'elle soit en la personne (qui y croit) ou chez les autres. Comme il lui est demandé de croire à cette lumière qui est chez les autres, il est tenu également d'y croire à cette même lumière qui est en lui.
Il y a deux types de personnes ; le premier est occupé par ce bas-monde, à la création de l'État et la religion. Il est sous la tutelle des Ulémas musulmans. Quant au second, sa motivation est plus vaste, après qu'il ait compris ce que les anciens avaient compris des secrets, il sollicite celui qui en est dépositaire pour le guider dans les stations de la réalisation. Il est alors sous la tutelle des connaissants (par Dieu).
Ne vise pas dans ton adoration à Dieu à vouloir salaires et récompense ! Mais plutôt vise à la proximité de l’Adoré ! Car s'Il te fait le don d'entrer en Sa Présence, les récompenses seront au-dessus de ce que tu t’attends ! Puis Il te comblera de Sa générosité, au point que tu seras l'axe de générosité que percevront ces mêmes récompenses. [Quant à cette allusion que Dawûd al-Mâkhlî a conclu sa parole, c'est le sens même du soutien de Dieu «al-Madad», lorsqu’Il inonde de Sa grâce et Ses secrets et de Ses spécificités sur son élu, jusqu'à ce qu'il devienne l'objet du flux débordant des bénédictions. Observe la parole de Dieu : «Voilà Notre don ; distribue-le ou retiens-le sans avoir à en rendre compte.» Sâd, 39.]
Il dit aussi, expliquant les périodes du soutien : les cœurs des croyants sont en-dessous des cœurs des saints, et les cœurs des saints sont en-dessous des cœurs des prophètes, qu'Allah leur adresse Ses prières et Ses salutation, et les cœurs des prophètes sont sous les lumières des soins divins. Ainsi le soutien arrive de ces intervalles suivi par les soutiens témoins.
La langue du connaissant est la plume avec laquelle il écrit sur le support des cœurs des disciples. Peut être a t-il écrit sur le support de ton cœur ce que tu ignores son sens et tu le comprendras lorsque tu le verras apparaître dans ses conditions (naturelles).
L'impact du connaissant qui est sa diffusion des lumières et du soutien, est plus profonde que l'impact de ses adeptes sur eux-mêmes par leurs litanies et leurs actes d'adoration.
Lorsque le cœur se passionne pour Dieu, c'est une très bonne chose, espérant qu'aucun pêché ne pourra nuire à cette passion. Et le détournement du cœur de Dieu est si mauvais qu'il est difficile pour une bonne action d'être acceptée.
Le plus étonnant est qu'un amoureux se tient debout devant la porte de celui qui n'est pas son amant.
Si tu veux passer par la voie claire «al-Mahajja al-Bayda» et arriver au sommet des personnes les plus vertueux, et imiter les gens du premier rang... Gare-toi alors de faire de ta religion et ta foi le résultat de l'intellect et de l'idéologie, ou que tu te base sur des preuves théoriques. Envole-toi plutôt au sommet et à la suprême station et tire les bénédictions et les lumières du Messager de Dieu, qu'Allah lui adresse Ses prières et Ses salutation, et demande à Dieu de te bénir par Son soutien, à partir duquel, tu t'affranchiras de tout autre moyen. Et te guideras par Sa lumière à Lui, jusqu'à ce que tu ne voies seulement que Lui. Et dis : Seigneur, gardez-moi d'avoir foi en vous et en ce qui a été révélé (du Qorân) et en qui Vous avez envoyé, par un résultat d'images teintées par des descriptions de l'illusion ou par un raisonnement impliquant la matière, mais faites que ma foi soit plutôt de Votre lumière éclairante, et de Votre éminent soutien et de la lumière de votre Prophète l’Élu (Mustafâ).
Lorsque le père envoie son fils chez le médecin, sans que l'enfant ne se doute de rien, et le père dit au médecin consultez-le gentiment et ne lui faites pas subir de mal, et je vous récompenserai, et surtout ne portez pas à sa connaissance la raison de sa maladie ni son remède pour guérir. Ainsi il est dit aux connaissant : «guéri les malades parmi Nos serviteurs, lorsqu’ils te sollicitent, par Notre permission, sans qu’ils se rendent compte, et ne porte pas à leur connaissance la raison de leur maladie ni son remède, car cela pourrait les affecter en sachant qu’ils portaient telle maladie (de l’âme). Et traite-les comme Nous les traitons. Car tu es Notre missionnaire et convié à servir Notre droit. Nous les avons invité à Notre Présence et Notre paradis, alors qu’ils en n’ont pas connaissance, et de l’ensemble de ses réalités par la vérité n’ont aucun savoir.»
Le but du connaissant est que l’aspirant sort de l'étroitesse à la largesse dans le monde de l'invisible, même si l’aspirant n’a pas conscience de cela.
Les connaissants parlent avec la création alors qu’ils sont avec le Créateur, comme a dit Abul-Qâsim al-Junayd, qu'Allah soit satisfait de lui : «pendant trente ans, je parlais avec le Seigneur et les gens pensent que je leur parlais.»
Le fils d'Adam est de trois mondes : le monde humain, le monde des démons, et le monde de l’esprit. Il a au niveau (du sens) de la terre : l'ignorance et l'oubli. Au niveau du souffle démoniaque : le déni, l’athéisme, l'ingratitude et la tyrannie. Et au niveau de l’esprit : la croyance assidue et la conformité, ensuite la certitude et la reconnaissance, ensuite être un témoin oculaire.
Le cœur est de trois mondes : le cœur de la terre où le diable pénètre et peut-être s’en empare après l’avoir séduit. Et le cœur céleste : reçoit des révélations, sonde autour de lui, et obtient ce qu’il a entendu de ses nouvelles et peut-être qu’il est lapidée par ses propres lumières. Et le cœur du trône : jamais (le fils d'Adam) ne pourra s’approcher de lui, et n’arrivera jamais à lui.
Ses œuvres
Kashf al-Balâgha fil ma’ânî (La rhétorique révélée à propos du sens)
‘Oyûn al-Haqâïq (les sources des vérités)
Aal-latîfa al-mardhiyya fi sharh du’â al-Shadhûliyya» (la douceur subtile et agrée pour expliquer la prière des Shâdhilî)
Et d'autres…
Son décès
Il mourut en 732 H / 1331, et son tombeau se trouve pas loin de la rue al-Hijârî à Ras al-Tîn à Alexandrie.
Source : les couches des saints «Tabaqât al-Awliyâ» de Siraju-Din Abu Hafs ‘Omar ibn Ali ibn Ahmad- al-Masri, connu par Ibn al-Mulaqan , décédé en 804 H / 1401.
Traduit de l'Arabe par Derwish al-Alawi, Les Amis du Cheikh Ahmed al-Alawi
Né et décédé en Alexandrie. Il était, qu'Allah soit satisfait de lui, un fonctionnaire de police au service du Gouverneur d'Alexandrie. Lors des procès verbaux, il prenait place en face du gouverneur. Il y avait entre eux un signe que lançait Dawûd al-Mâkhlî et que le gouverneur comprenait si l'accusé était coupable ou innocent, et il condamnait ou pas l'accusé selon le dévoilement de Dawûd.
Il parlait au niveau de la voie (du Tasawwûf), et ses paroles était d'un très haut niveau de connaissance bien qu'il était analphabète, ne sachant ni lire, ni écrire.
Il récitait souvent ces vers :
Tu T’Es manifesté
Et aux yeux de personne Tu n’Es caché
Sauf pour l’aveugle
Qui ne connaît point la lune !
Puis Tu T’Es voilé des regards
Ô l’Absolu
Et comment Se montre
Celui qui par la blancheur s’Est caché
Parmi ses paroles, qu'Allah soit satisfait de lui :
Dans son livre intitulé «'Aïn al-Haqâïq», il commente la parole du prophète Muhammad, qu'Allah lui adresse Ses prières et Ses salutation, qui est : «Les actions ne valent que par les intentions, et chaque personne reçoit le mérite selon son intention.» Il dit : selon le niveau de ta motivation dans tes intentions, sera le niveau de ton grade vers ton monde intérieur.
La raison de l'existence des maux et des causes nuisibles, est l'éloignement (de Dieu) et le voile ! Celui qui est témoin de l'illumination de son cœur, saura que la soumission au Seigneur des seigneurs, est nécessaire pour le serviteur qui n'est pas possesseur de maux.
Le saint a deux lumières : l'une est tendresse et miséricorde par laquelle il attire les gens qui sont sujets d'attention, et l'autre est débordement, orgueil et oppression par laquelle les gens de la débauche sont repoussés. Car le saint navigue entre les cercles de la vertu et de la justice. S'il est mis dans le cercle de la vertu, il sera visible, attirant et bénin. Et s'il est mis dans le cercle de la justice et de l'orgueil, il sera invisible, caché et repoussant. C'est pour cela que pour les uns, les gens affluent vers eux et fuient les autres.
Plus le serviteur connaît l'accroissement du savoir, plus s'accroit sa dépendance et son aspiration (à Dieu), et sa motivation s'amplifie d'avantage. Car, dans l'ignorance, il demande la connaissance, et dans la connaissance, il demande qu'elle soit évacuée.
L'information est en plusieurs degrés, elle n'a ni fin ni limite. Quel étonnement lorsqu'une envie s'abreuve, elle s’enflamme d'avantage et sa passion s’accroit.
L'un des plus grands dons après la foi en Dieu et Ses anges, à Ses livres et Ses messagers, serait la foi en la lumière de la sainteté «al-Wilâya», qu'elle soit en la personne (qui y croit) ou chez les autres. Comme il lui est demandé de croire à cette lumière qui est chez les autres, il est tenu également d'y croire à cette même lumière qui est en lui.
Il y a deux types de personnes ; le premier est occupé par ce bas-monde, à la création de l'État et la religion. Il est sous la tutelle des Ulémas musulmans. Quant au second, sa motivation est plus vaste, après qu'il ait compris ce que les anciens avaient compris des secrets, il sollicite celui qui en est dépositaire pour le guider dans les stations de la réalisation. Il est alors sous la tutelle des connaissants (par Dieu).
Ne vise pas dans ton adoration à Dieu à vouloir salaires et récompense ! Mais plutôt vise à la proximité de l’Adoré ! Car s'Il te fait le don d'entrer en Sa Présence, les récompenses seront au-dessus de ce que tu t’attends ! Puis Il te comblera de Sa générosité, au point que tu seras l'axe de générosité que percevront ces mêmes récompenses. [Quant à cette allusion que Dawûd al-Mâkhlî a conclu sa parole, c'est le sens même du soutien de Dieu «al-Madad», lorsqu’Il inonde de Sa grâce et Ses secrets et de Ses spécificités sur son élu, jusqu'à ce qu'il devienne l'objet du flux débordant des bénédictions. Observe la parole de Dieu : «Voilà Notre don ; distribue-le ou retiens-le sans avoir à en rendre compte.» Sâd, 39.]
Il dit aussi, expliquant les périodes du soutien : les cœurs des croyants sont en-dessous des cœurs des saints, et les cœurs des saints sont en-dessous des cœurs des prophètes, qu'Allah leur adresse Ses prières et Ses salutation, et les cœurs des prophètes sont sous les lumières des soins divins. Ainsi le soutien arrive de ces intervalles suivi par les soutiens témoins.
La langue du connaissant est la plume avec laquelle il écrit sur le support des cœurs des disciples. Peut être a t-il écrit sur le support de ton cœur ce que tu ignores son sens et tu le comprendras lorsque tu le verras apparaître dans ses conditions (naturelles).
L'impact du connaissant qui est sa diffusion des lumières et du soutien, est plus profonde que l'impact de ses adeptes sur eux-mêmes par leurs litanies et leurs actes d'adoration.
Lorsque le cœur se passionne pour Dieu, c'est une très bonne chose, espérant qu'aucun pêché ne pourra nuire à cette passion. Et le détournement du cœur de Dieu est si mauvais qu'il est difficile pour une bonne action d'être acceptée.
Le plus étonnant est qu'un amoureux se tient debout devant la porte de celui qui n'est pas son amant.
Si tu veux passer par la voie claire «al-Mahajja al-Bayda» et arriver au sommet des personnes les plus vertueux, et imiter les gens du premier rang... Gare-toi alors de faire de ta religion et ta foi le résultat de l'intellect et de l'idéologie, ou que tu te base sur des preuves théoriques. Envole-toi plutôt au sommet et à la suprême station et tire les bénédictions et les lumières du Messager de Dieu, qu'Allah lui adresse Ses prières et Ses salutation, et demande à Dieu de te bénir par Son soutien, à partir duquel, tu t'affranchiras de tout autre moyen. Et te guideras par Sa lumière à Lui, jusqu'à ce que tu ne voies seulement que Lui. Et dis : Seigneur, gardez-moi d'avoir foi en vous et en ce qui a été révélé (du Qorân) et en qui Vous avez envoyé, par un résultat d'images teintées par des descriptions de l'illusion ou par un raisonnement impliquant la matière, mais faites que ma foi soit plutôt de Votre lumière éclairante, et de Votre éminent soutien et de la lumière de votre Prophète l’Élu (Mustafâ).
Lorsque le père envoie son fils chez le médecin, sans que l'enfant ne se doute de rien, et le père dit au médecin consultez-le gentiment et ne lui faites pas subir de mal, et je vous récompenserai, et surtout ne portez pas à sa connaissance la raison de sa maladie ni son remède pour guérir. Ainsi il est dit aux connaissant : «guéri les malades parmi Nos serviteurs, lorsqu’ils te sollicitent, par Notre permission, sans qu’ils se rendent compte, et ne porte pas à leur connaissance la raison de leur maladie ni son remède, car cela pourrait les affecter en sachant qu’ils portaient telle maladie (de l’âme). Et traite-les comme Nous les traitons. Car tu es Notre missionnaire et convié à servir Notre droit. Nous les avons invité à Notre Présence et Notre paradis, alors qu’ils en n’ont pas connaissance, et de l’ensemble de ses réalités par la vérité n’ont aucun savoir.»
Le but du connaissant est que l’aspirant sort de l'étroitesse à la largesse dans le monde de l'invisible, même si l’aspirant n’a pas conscience de cela.
Les connaissants parlent avec la création alors qu’ils sont avec le Créateur, comme a dit Abul-Qâsim al-Junayd, qu'Allah soit satisfait de lui : «pendant trente ans, je parlais avec le Seigneur et les gens pensent que je leur parlais.»
Le fils d'Adam est de trois mondes : le monde humain, le monde des démons, et le monde de l’esprit. Il a au niveau (du sens) de la terre : l'ignorance et l'oubli. Au niveau du souffle démoniaque : le déni, l’athéisme, l'ingratitude et la tyrannie. Et au niveau de l’esprit : la croyance assidue et la conformité, ensuite la certitude et la reconnaissance, ensuite être un témoin oculaire.
Le cœur est de trois mondes : le cœur de la terre où le diable pénètre et peut-être s’en empare après l’avoir séduit. Et le cœur céleste : reçoit des révélations, sonde autour de lui, et obtient ce qu’il a entendu de ses nouvelles et peut-être qu’il est lapidée par ses propres lumières. Et le cœur du trône : jamais (le fils d'Adam) ne pourra s’approcher de lui, et n’arrivera jamais à lui.
Ses œuvres
Kashf al-Balâgha fil ma’ânî (La rhétorique révélée à propos du sens)
‘Oyûn al-Haqâïq (les sources des vérités)
Aal-latîfa al-mardhiyya fi sharh du’â al-Shadhûliyya» (la douceur subtile et agrée pour expliquer la prière des Shâdhilî)
Et d'autres…
Son décès
Il mourut en 732 H / 1331, et son tombeau se trouve pas loin de la rue al-Hijârî à Ras al-Tîn à Alexandrie.
Source : les couches des saints «Tabaqât al-Awliyâ» de Siraju-Din Abu Hafs ‘Omar ibn Ali ibn Ahmad- al-Masri, connu par Ibn al-Mulaqan , décédé en 804 H / 1401.
Traduit de l'Arabe par Derwish al-Alawi, Les Amis du Cheikh Ahmed al-Alawi
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