A.C.A.A - Amis du C. A. Alawî

Rechercher

Mohammed Seghir Karkarî

le mai 26, 2018

Obtenir le lien
Facebook
X
Pinterest
E-mail
Autres applications

Mohammed Seghir ben Taïeb ben Mohammed ben Qaddour Ouakili Karkari

Bio-postérieurs

Obtenir le lien
Facebook
X
Pinterest
E-mail
Autres applications

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Notre chaine sur Youtube

Notre page Facebook

Audio (smaa,imara,hadra)

Articles les plus consultés

Cheikh al-Alawî - Dîwân (recueil de poèmes)

Le Dîwân (recueil de poèmes) du Cheikh Ahmed al-Alawî est un ensemble de poésies spirituelles auquel les disciples ont recours pour les séances de samâ’, représente, avec ses Munâjât ("apartés") et ses aphorismes ("Sa Sagesse"), l’aspect le plus intime de sa production littéraire. Dans ce Diwân le Cheikh célèbre la Présence prophétique et l’ivresse de l'Amour divin dans un style poétique flamboyant. Il est à noter que l’une des pièces maitresses de ce recueil est son long poème dit « al-lâmiya » (dont la rime se termine par un L) et qui constitue tout un programme pour le disciple qui entreprend le voyage dans la voie de Dieu. Inspiré de l'émanation de la Présence de l'Unité, ce poème ainsi que d'autres sont un chef-d'œuvre de spiritualité et d'art poétique. Poèmes (reclassés) par ordre alphabétique. Quelques titres (seulement) ont été adaptés pour s'accorder avec les différentes versions de traduction. Index À Dieu se

Abul-'Abbâs al-Mûrsi

Shihab ad-Din Ahmad ibn 'Omar ibn 'Ali al-Khazraji al-Balansi, dont la noble lignée remonte au grand Compagnon Sa'ad ibn 'Ubada al-'Ansari. Il était connu sous l'épithète « Abul-'Abbas » et par le surnom « al-Mûrsi » d'après le lieu de sa naissance, Murcie. Son grand-père était Qays ibn Sa'ad, le chef de l'Égypte avant notre maître l'iman 'Ali ibn Abi Talib en l'an 36 de l'Hégire. Notre maître Abul-'Abbas al-Mûrsi naquit dans la ville de Murcie, en Andalousie, en 616 de l'ère islamique (1219). Son père, qui y travaillait, le plaça auprès d'un professeur afin d'étudier le Glorieux Coran et d'apprendre les commandements de la religion. Abul-'Abbas al-Mûrsi mémorisa le Coran dans son intégralité en une année, et continua à étudier les principes de la jurisprudence, de la lecture et de l'écriture. Son père était un commerçant de Murcie, et Abul-'Abbas al-Mûrsi avait l'habitude de participer, à

A propos de ce site Les Amis du Cheikh Ahmed al-Alawî

Par respect à nos efforts, notre travail de plusieurs années, merci de mentionner notre site lors du copier coller (Source : A.C.A.A - Amis du C. A. Alawî), car effectivement nous avons constaté malheureusement dans certains sites le manquement à cette règle de courtoisie et d'honnêteté, et même la suppression de mon surnom (Derwish al-Alawi) des traductions de textes ou poèmes du Maitre al-Alawi (R) ...... Louange à Allah le Très-Haut, nous Lui reconnaissant la Seigneurie et l’Unicité absolue dans l’être (Essence), les Attributs et les Actes et que la prière et la paix soient sur notre seigneur Muhammad, sa famille et ses compagnons les célèbres et guides A propos de ce site... Le site Les Amis du Cheikh Ahmed al-Alawî - Site non-officiel de la Tarîqa Alawiyya- est une modeste participation de ma part, conçu en 2004, il est dirigé exclusivement par moi-même (Derwish al-Alawi), il est en effet le premier site en ligne indépendant, qui n'est soumis à aucune orga

Obsèques de Ahmed Bensmaïne - La Dépêche algérienne 05/05/1938

Lundi 2 mai à 16 heures, ont eu lieu les obsèques de M. Bensmaïne El Hadj Ahmed , Chevalier de la Légion d'Hon neur, Membre de la Chambre de Commerce et de la Commission de réforme Algérienne. Un foule considérable se pressait sur le parcours du cortège, qui com prenait tout ce que l'Oranie et la région comptait de parents, d'amis, ou de connaissances, pour témoigner à une vieille famille mostaganémoise, toute son affectueuse sympathie. Nous tenons à évoquer ici tout un passé de labeur, de persévérance, d'honnêteté, de bonté, de générosité discrète, qui caractérisait El Hadj Ahmed. Profondément croyant, il éleva sa famille, à laquelle il a légué une situa tion des plus enviables, dans la piété et le respect intégra) de la religion musulmane. Remarqué dans l'assistance : MM. Charavin, Sous-Préfet et son khodja principal, Lemoine, président de la Chambre de Commerce, Abassa, délégué financier, Gibaud, adjoint au maire, entouré du Conseil Municipal, Miquel et Rougny,

Ismaïl al-Hadifi

Ismaïl al-Hadifi narre lui-même une partie de sa biographie concernant son affiliation à la confrérie Madaniyya et ses relations étroites avec le Maitre Al-Madani ( qui est considéré par ses disciples et les hommes de Dieu clairvoyants, le pôle et le secours de son temps "qotb, ghawt, fard", le véritable successeur du Maitre al-Alawi dans le sens de la Khilafat Mohamadiyya ): La naissance du pauvre serviteur fut en 1916 à Tozeur et plus exactement à al-Hawadiff, tribu des Béni Hadiff. Mon éducation durant mon jeune âge, a commencé par la récitation du Qoran sous la tutelle de mon frère sidi Ahmed Ben 'Othman al-Hadifi, ensuite j'ai rejoint l'annexe de la zaytûna à Tozeur, j'ai fais mes études dans la Mosquée al-Farkûs de 1934 à 1937, ensuite j'ai rejoint Tunis en 1938 pour y passer le brevet et rejoindre le lycée de la zaytûna et nous avons obtenu par la Grâce de Dieu le diplôme en 1942, par la suite, nous avons poursuivit les études supérieures à la zaytû

Index - La Alawiyya et ses ramifications

De nombreuses voies soufies sont issues de l’Alawiya, et ces ramifications sont identifiées selon leurs maîtres et guides, non pas sur les principes (de la voie) et de l'éducation, car il n'y a presque pas de différence entre les différentes voies ramifiées de l’Alawiya que dans certaines phases dans l’orientation et dans l'éducation. Certaines ramifications actives de l’Alawiya ont à leur tour déployé d’autres rameaux également, ce qui nécessite un traçage historique. Mais je me limiterai à mentionner ici quelques-unes des ramifications de l’Alawiya ou les voies rameaux qui ont débouché de ses ramifications. Cette page contient les noms des maitres autorisés par le Cheikh Alawi à guider, ou par un de ses élèves, autorisé par son maitre, et ainsi de suite. Aussi les noms des moqqadems, qui ont la fonction de faire le rappel, de donner aux nouvelles recrues le pacte d’allégeance et les litanies générales (wird) seulement, ainsi que les noms d’un bon nombre de disciples q

La fondation d’une académie de savants musulmans AOMA - La Dépêche algérienne 07/04/1931

L'idée de la fondation d’une académie de savants est juste, mais comment la réaliser ? "El-Balaghe" (Hebdomadaire Alaoui de langue arabe paraissant à Alger), a reçu la lettre suivante au sujet de ce projet dont lui et la revue "Ach-Chihab" ont été les initiateurs. (note : il se peut que ce soit le Cheikh Alawi lui-même qui soit l'auteur de cet article vu le style et le ton employés). J’ignore les statuts que les honorables personnalités projettent actuellement pour la fondation de l’association, statuts auxquels se conformera cette académie qui est l’espoir du peuple algérien. J’espère que ce seront des statuts précis, aux fondements solides englobant le bien public dans ses principes et lois fondamentales, sûr que je suis de ces personnalités qui œuvrent à la réalisation de ce noble but. Je suis certain qu’ils n’ont pas entrepris cette œuvre élevée qu’après une étude approfondie et après avoir compris les prétentions et les tendances des diverses catégories

Index - Livres du Cheikh al-Alawî (en ligne - PDF)

01- Les propos abordables par les intellects (1913) Ce livre fait suite à une demande adressée par certains de ses admirateurs, le sollicitant de retracer une vue d’ensemble de la doctrine religieuse d’une manière qui soit facilement accessible pour les novices, sans que cela leur nécessite un effort de compréhension des termes dialectiques dans la disposition des introductions et des arguments. Il l’a résumée en trois sections que le préposé (al-Mukallaf) doit apprendre. L’enseignement du Cheikh al-Alawi comme celui de tout autre maître Soufi étant basé sur le « Tawhîd » ou l’Unicité, ce court traité donne les éléments théoriques essentiels permettant à tout cheminant de réaliser « Lâ llâha Illa L-Lâh » (Il n’y a pas de dieu, si ce n’est Allah). 02- La Voie du Soufisme Constituant l’intériorité de tout Message et plus particulièrement de l’Islam, le Tassawwuf a toujours été et demeure la voie de l’élite. Ceux qui le suivent, vivent le Message dans sa profo

La confrérie soufie ‘Alawiyya à travers l’épreuve de la lutte de libération algérienne

Cet article fait suite à une soutenance de thèse doctorale soutenue à l'université de Toulouse Jean Jaurès. La plupart des photographies qui accompagnent le présent article sont des photographies privées fournies par l'auteur. La Rédaction. Les confréries religieuses musulmanes ayant longtemps été marginalisées dans l’histoire de l’Algérie contemporaine, il fallut attendre le contexte de la guerre civile (1991-2002) pour qu’elles se voient progressivement réhabilitées dans leurs fonctions éducatives, religieuses et sociales afin de disposer d’alternatives face au radicalisme religieux. Le premier signe manifeste de réhabilitation générale en faveur des confréries religieuses fut l’organisation d’un colloque sur les zaouïas en 1991, pendant lequel la question de la participation des zaouïas à la guerre d’Algérie, y fut centrale. Le second signe est plus officiel puisqu’il s’agit de la nomination en 1997 du cheikh Bouabdallah Ghlamallah de la zaouïa de

Mohammed al-Madani - Shahaid & Fatawî (3-01)

Naissance, éducation de base (1888 / 1909) Muhammad ben Khalifa al-Madani naquit à Qûsaybat al-madiyûni en 1888, issu d’une famille prestigieuse par sa piété. Son père Khalifa était un commerçant itinérant, il différait des autres par son aisance relative ; il possédait une charrette sur laquelle il pouvait transporter son huile jusqu’à Tunis, là il pouvait l’écouler, réaliser des bénéfices substantiels et retourner au village. Comme il était pieux, il compta tôt parmi les adeptes du Cheikh as-Sadiq as-Sahrawi, grand Mûqaddam de la confrérie Madaniya-Chadhûliya à Tunis dont le Maître spirituel était le Cheikh Muhammad Zafir al-Madani. Son père Khalifa ibn-Hassin brûlait de désir d’avoir un fils et il fit le vœu de l’appeler du nom du fondateur de la confrérie (Muhammad al-Madani) dont il était considéré comme l’un des membres les plus dynamiques. Quand l’enfant naquit en 1888, il fut nommé donc Muhammad al-Madani, et bien avant l’âge de cinq ans il fréquenta le Kûttab pour y apprendre

Fourni par Blogger

Merci de mentionner notre site lors du copier coller (Source : A.C.A.A - Amis du C. A. Alawî)