Cheikh Rezqi (Arezqi), les gens connaissaient ses Prodiges, un jour, trois fuqaras très pauvre, qui vivaient dans la misère sont venu le voir pour se plaindre de leurs états. Le jour où ils se rendirent auprès de lui, sidi Rezqi n’avait pas mangé depuis longtemps, et avait son chapeau en pailles et sa Djellaba Marocaine qui couvrait son visage, pour que personne ne peut connaître son état "hal". Ils ont rejoint l'assemblée et lui ont dit : « ceci est notre vie, elle est misérable et très difficile... » Et ainsi de suite. Le Cheikh Rezqi leur a répondu : « vous voulez la dunya (la richesse de ce bas-monde) ? Elle n’est pas ici ! » Et il les a repoussé loin de lui vers les fuqaras en leur disant : « Prenez la dunya.»
Quand le tour du troisième faqir arriva (il était gardien dans une école primaire), et avant que le Cheikh n'ouvre ses mains, le faqir dit : « rien, je ne veux pas la dunya, je ne veux pas la dunya ». Les premiers faqir sont devenus riches par la grâce d’Allah, l'un d'eux a une usine d’épices et est devenu l'un des plus grands fournisseurs d'épice en Algérie. Il succeda à sidi Abbas al-Jazaïri.
Quand le tour du troisième faqir arriva (il était gardien dans une école primaire), et avant que le Cheikh n'ouvre ses mains, le faqir dit : « rien, je ne veux pas la dunya, je ne veux pas la dunya ». Les premiers faqir sont devenus riches par la grâce d’Allah, l'un d'eux a une usine d’épices et est devenu l'un des plus grands fournisseurs d'épice en Algérie. Il succeda à sidi Abbas al-Jazaïri.
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