Meneur des Gens par Allah
(Hâdiya-l-qawmi biLlah ya hâdi)
Traduit par Abu Bakr Sirajuddin (Martin Lings)
***
Toi, meneur des Gens,
Ramène-nous en chantant au bercail
Et daigne, au nom de Dieu,
Laisser tomber sur moi Ton regard ;
***
Si de Ta voix
Tu lances un trait :
Il frappera de vigilantes oreilles
Et percera mon cœur.
***
Ceux qui m'entourent
Ne savent pas ce qu'est l'Amour.
M'en voyant atteint,
Ils s'écrieraient : " ces malheureux sont fous. "
***
Si c'est folie d'aimer
Celui pour qui je brûle,
De cette dévorante maladie
Dieu veuille ne point me guérir.
***
Si le négateur prêtait
L'oreille à mes paroles,
Loin de détourner de mon enseignement,
Il voudrait devenir mon disciple.
***
Demande-leur,
Le jour où les visages s'humilient
Devant le Vivant éternel,
S'il étaient avec moi.
***
C'est un jour pareil à celui de
"Ne suis-je pas votre Seigneur ?"
Alors j'ai répondu oui
Et je n'ai cessé de dire :
" Seigneur, je suis à Ton service. "
***
J'ai répondu à l'appel
De l'appelant de Dieu.
A cet appelant
Ne répondrez-vous pas, ô mes amis ?
***
Sur moi la faveur accordée,
Détournez-vous
De ceux qui en médisent.
***
A qui veut connaître
Le rang de ceux qui aiment,
Voici ma réponse,
Elle guérira touts les doutes :
***
De ceux qui à Badr combattirent jadis
Nous sommes les égaux :
Ce qui est nôtre est leur,
Ce qui est leur est nôtre.
(Hâdiya-l-qawmi biLlah ya hâdi)
Traduit par Abu Bakr Sirajuddin (Martin Lings)
***
Toi, meneur des Gens,
Ramène-nous en chantant au bercail
Et daigne, au nom de Dieu,
Laisser tomber sur moi Ton regard ;
***
Si de Ta voix
Tu lances un trait :
Il frappera de vigilantes oreilles
Et percera mon cœur.
***
Ceux qui m'entourent
Ne savent pas ce qu'est l'Amour.
M'en voyant atteint,
Ils s'écrieraient : " ces malheureux sont fous. "
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Si c'est folie d'aimer
Celui pour qui je brûle,
De cette dévorante maladie
Dieu veuille ne point me guérir.
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Si le négateur prêtait
L'oreille à mes paroles,
Loin de détourner de mon enseignement,
Il voudrait devenir mon disciple.
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Demande-leur,
Le jour où les visages s'humilient
Devant le Vivant éternel,
S'il étaient avec moi.
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C'est un jour pareil à celui de
"Ne suis-je pas votre Seigneur ?"
Alors j'ai répondu oui
Et je n'ai cessé de dire :
" Seigneur, je suis à Ton service. "
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J'ai répondu à l'appel
De l'appelant de Dieu.
A cet appelant
Ne répondrez-vous pas, ô mes amis ?
***
Sur moi la faveur accordée,
Détournez-vous
De ceux qui en médisent.
***
A qui veut connaître
Le rang de ceux qui aiment,
Voici ma réponse,
Elle guérira touts les doutes :
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De ceux qui à Badr combattirent jadis
Nous sommes les égaux :
Ce qui est nôtre est leur,
Ce qui est leur est nôtre.
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