Ou
 plus communément connu par le Mawlid du Cheikh al-Barzanjî. Grâce à 
cette ouvrage, la célébration du Mawlid est un classique de la culture 
musulmane sunnite, elle relate la naissance et la grandeur du Prophète 
Mohammed, (que la proximité et la paix de Dieu lui soient allouées). la 
traduction est faite Derwish al-Alawî et offerte (pour la Face de Dieu) à
 la Zaouïa al-Qâcimiyya de Paris et à tous les soufis francophones. Pour
 une version simple, cliquer ici.
La
 Qaṣîda al-Burda, également connue sous l’appellation française « Poème 
du manteau » est une ode à la prière dédié au prophète Mohammed qui a 
été composée par l'Imam Sharafu-Din Mohammed Ben Sa‘ïd Ben Hammâd Ben 
Muhsin Ben Sanhâdj Ben Hilâl Sanhâdji) (1212-1296) d’Égypte. Il est 
fondé sur le mode de la qasida classique de Kaâb ibn Zouhaïr qui l'a 
composée à l'aube de l'Islam, comme une preuve de sa conversion. En 
échange de ce poème, le prophète Mohammed lui offrit sa Burda, ou 
manteau. Ce poème fut, du vivant même de son auteur, considéré comme 
sacré, et occupe encore de nos jours une place particulière au sein de 
l'Islam : ses vers sont portés en amulette, récités dans les 
lamentations pour les défunts, et interpolés par de nombreux autres 
poèmes. Le Cheikh Sharafu-Din al-Busayri naquit, selon les uns, à 
Aboukir, aux environs de Dilâs, selon d’autres, le premier jour de 
chaouâl 608 (7 mars 1212). Vivant à Belbéis du métier de grammairien et 
de copiste, il fut le disciple du célèbre soufi Abou’l’Abbàs Ahmed 
al-Mursi et devint le plus illustre docteur « sunnite » de son époque. 
Il mourut dans les années 694-697 de l’hégire (1294-1298) et son tombeau
 fut placé près de celui de L’Imam Shaféi. Ses surnoms al-Dilâsi et 
al-Busayri sont quelquefois réunis sous le nom d’al-Dilasiri.
Titre
 original : L'emblème du succès dans le comportement au sein de la voie 
(Un poème du maître des maîtres Abû Madiyan Shu'ayb, que Dieu sanctifie 
son esprit). Complété par le grand maître (Mohiyu-Dîn Ibn 'Arabî, que 
Dieu sanctifie son esprit). Commenté par (Ibn Ata-Allah al-Iskandarî, 
que Dieu sanctifie son esprit).
Voici
 un travail remarquable réalisé par les disciples de la Tariqa 
Naqchabandiyya, toutes les preuves dogmatiques et traditionnelles sont 
réunies, ce travail mérite d'être salué et on peux le considérer comme 
une encyclopédie du Soufisme et qu'Allah Ta'ala récompense ceux qui y 
ont contribué.
L’espèce
 humaine est composée, de façon générale, de deux grandes parties : Une 
première, matérielle ou physique qui est le corps humain ; et une 
seconde partie qui est intangible et immatérielle. Cette dernière 
représente la base des désirs et instincts de l’homme et également le 
principal guide de sa raison. C’est elle aussi qui le distingue des 
autres espèces. Cette facette immatérielle de l’homme se nomme : l’âme. 
L’âme est donc la partie profonde de l’homme. Elle dirige son mental. 
Par conséquent, il n’est donc pas superflu de dire que son bon état est 
primordial pour l’homme. Néanmoins, nos âmes ne sont pas toujours en bon
 état. Elles sont souvent affectées par des pathologies qui provoquent 
des dysfonctionnements chez les hommes.
Al-Mursi
 Abu'l-'Abbas (1219, Murcia - 1286 CE) is a Sufi saint from Al-Andalus 
who later in his life moved to Alexandria in Egypt. His complete name is
 Shahab al-Din Abu'l-'Abbas Ahmad ibn 'Umar ibn Mohammad al-Ansari 
al-Mursi.Al-Mursi Abul-'Abbas, as he is now commonly called, is one of 
the four master saints of Egypt, the other three being Ahmad al-Badawi, 
al-Dessouqi and al-Haggag.
Le
 plus célèbre ouvrage composé par l'Imâm de Médine, c'est Al-Mouwatta'e.
 Il s'agit d'un ouvrage compilant des éléments de la Sounna purifiée, 
ainsi que certaines opinions juridiques émises par les nobles 
compagnons, les Successeurs et autres savants parmi les pieux 
prédécesseurs. Mâlik rédigea cet ouvrage pendant plus de dix ans et ne 
cessa de le mettre à jour et de l'enrichir pendant près de quarante ans.
Revue Africaine n° 79 1936 Vol-2. (Texte original).
Augustin
 Berque (père du grand islamologue Jacques Berque) était administrateur 
et trésorier de la société historique algérienne. C'était 
incontestablement un homme de haute culture et ses écrits le prouvent 
abondamment. Le long article qu'il avait publié dans la " Revue 
africaine" sous le titre étrange : " Un mystique moderniste : le Cheikh 
al-Alawi" décrit d'une façon vivante et complète l'expérience qu'il eut,
 pour ainsi dire, du Cheikh al-Alawi, par une fréquentation suivie au 
cours de longues années. Nous vous prévenons cependant que quelques 
passages, malgré le caractère excessivement précieux de ce texte, se 
trouvent émaillés ici et là de faits inexacts ou de réflexions erronées.
 Ceci est dû, non à la mauvaise foi de l'auteur, mais au fait que Berque
 et les gens de son milieu ont vu en le Cheikh al-Alawi, l'homme d'un 
grand savoir, d'une rare éloquence, un esprit infatigable et fécond. Ils
 l'ont à la fois admiré et craint à cause de l'impact qu'il avait sur 
tous ceux qui l'approchaient, y compris eux-mêmes. On trouvera donc, 
dans les pages qui suivent, le texte presque intégral de l'article d'A. 
Berque et on se fie à l'intelligence du lecteur pour " traduire" ou " 
interpréter" chaque fois que c'est nécessaire. C'est un texte qui 
suppose chez le lecteur une connaissance préalable de l'Islam et de sa 
doctrine intérieure. A travers le voile des mots, le chercheur " saisira
 le parfum à sa source". Nous avons ajouté quelques notes qui soulignent
 justement les erreurs les plus "fatales" à une compréhension juste.
Professer
 le Soufisme, c’est, pour les mystiques et d’après la définition donnée 
clans le Hadaïq, s’assimiler la morale des Soufis ou spiritualistes, 
s’approprier leur caractère distinctif et embrasser leur genre de vie. 
C’est aussi, selon d’autres, ne conserver des propriétés essentielles à 
notre nature que les dispositions heureuses et rejeter les mauvaises. 
Pour Jouneïd, le Soufisme consiste à mourir à soi-même et à vivre en 
Dieu ; pour le cheikh Qâcem El-Khâni, à pratiquer les devoirs religieux 
de bouche et de cœur.
La
 maîtrise du corps contribue à la lutte contre soi et à la réalisation 
spirituelle. Dans les ouvrages étudiés destinés à une population 
croissante et de plus en plus souvent organisée en communauté, les 
exploits ascétiques sont remplacés par un savoir-vivre qui sanctifie les
 actes de la vie quotidienne. L'article examine les règles qui régissent
 la satisfaction des besoins matériels essentiels (nourriture, sommeil, 
vêtement), ainsi que le mariage et le célibat. Les sources insistent sur
 la nécessité d'une coïncidence entre l'état intérieur et le 
comportement extérieur, mais la réalisation spirituelle place finalement
 l'homme au-dessus de l'effort volontaire.
(Salah Khelifa - Alawisme et Madanisme, des origines immédiates aux années 1950)
Troisième
 volume en annexe de la Thèse de doctorat de Salah Khelifa, comprenant 
des poèmes traduits en français du cheikhs al-Alawi et principalement du
 cheikh al-Madani et quelques disciples Madani's réalisés 
(spirituellement). 
Dans
 cet ouvrage, le grand savant de l’Islâm l’Imâm Muhammad al-Ghazalî, 
annonce la valeur de l’acquisition des sciences islamiques, il en fait 
l’éloge, il répond aux philosophes grecs et il fait des explications sur
 les réflexions et croyances agnostiques de quelques scientifiques.
Sufism,
 in its contemporary expression within the Sufi Orders is without doubt 
substantially different to the theosophical Sufism created by the 
masters of Islamic mysticism. Perhaps the major transformation in Sufi 
thought is represented by the beginnings of its institutionalization 
when Sufism became a collection of rituals made up of the regular 
ceremonial liturgical recitations ofdhikr1and devotional prayer (wird) 
held at the zawiya. Once the zawiya became the sole socio-cultural 
institution for the expression of Sufism, a new cultural coloring took 
shape in the Islamic cultural field. This gained its independence from 
philosophical Sufism on the one hand and from orthodox religion on the 
other. It swept the domains of folk culture in some of the Islamic 
lands, particularly in the Arab Maghreb, representing a very significant
 change to folk religion there and, even, a fundamental component of its
 identity.3In this study attempts will be made to probe the 
epistemological, symbolic and sociological conditions that made this 
kind of cultural expression of religion both an "independent Islam" and,
 at the same time, one in close contact with orthodox Islam. In addition
 to the political and historical conditions of interest to historians, 
attempts will be made to excavate the structural conditions that make 
the Tariqa4anautonomous social body within Arab Islamic society by 
dwelling on the epistemological and anthropological conditions that have
 allowed tariqa Islam to continuously reproduce itself.
- Conférence de M. Nasreddine Étienne Dinet, l'illustre peintre et penseur français converti à l'islam. La conférence intitulée "Rayons de lumière islamique" a été donnée à la "Fraternité Musulmane de Paris" (date ne figure pas sur le document). La conférence d’Étienne Dinet parlait à la fin de Kemal Attaturk. Ahmed Tewfik el Madani avait donné son opinion sur ce point. Cette opinion se trouvait écrite de sa main sur le verso de la dernière page.
- Un article de cheikh Mohamed el Assimi paru dans le Chiheb d'Ibn Badis relatant la cérémonie de conversion d’Étienne Dinet à l'islam.
La
 traduction de cette œuvre grandiose sur le plan mystique , a été 
réalisée , pour répondre , à un besoin manifesté par de nombreux 
intéressés ne maîtrisant pas la langue arabe , ou ne la pratiquant pas 
du tout ; ce qui ne leur permettait pas d'apprécier à sa juste valeur le
 contenu de cette prière sur le prophète - prière d'Allah et son salut 
sur lui - , et par la même de profiter du flux luminescent qui en émane.
 Cette prière en effet, est récitée dans les quatre coins du globe et 
elle a permis à beaucoup de fidèles de transcender dans l'échelle 
mystique et d'aspirer à être des aimés du prophète - Prière d'Allah et 
son salut sur lui - , et d'Allah le Détenteur de la Majesté et de la 
Munificence .

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