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Index - interview dans les journaux de l'époque avec le Cheikh Alawi

le août 09, 2018

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Index - interview dans les journaux de l'époque avec le Cheikh Alawi.

Par ordre d'apparition:

1924-12-06 : Le Petit Oranais - Interview d'un chef musulman
1927-08-14 : l’Écho d'Alger - Cheikh Alawi - le progrès et la religion. ("De passage")
1929-07-30 : Les Annales coloniales - Cheikh Alawi - le Centenaire de l'Algérie
1929-08-15 : Le Petit Tlemcenien - Un entretien intéressant avec le Cheikh Ben Allioua
1930 : Cheikh Alawi - La société humaine peut-elle se passer des lois divines ? (Introduction du guide pratique du musulman imprimé en 1930)
1952 -1953 : Le Phare de Tunis - La zaouia de Mostaganem et le Cheikh A. Bentounès

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Articles les plus consultés

L’influence et le grand magnétisme du Cheikh Benalioua - Bône-journal du 20/10/1922

Attention : Cette article que nous incérons ici (déjà en 1922) est un aperçu "exclusif" de la forte influence et du grand magnétisme que le Cheikh Benalioua avait sur ses disciples, au point qu’ils étaient prêts à tout abandonner pour l’amour de leur maitre sans sourciller, les disciples de Bordj-bou-Aréridj en particulier, ont fait preuve de rattachement solide, aveugle, que quelques évènements dans la presse de l’époque nous le font rappeler, les mentionner de "fanatiques" ne serait pas exagéré, "au bon sens du terme". Il est intéressant de faire rappeler leurs positions vis-à-vis du maitre en s'inspirant des articles parus dans la presse de l'époque, je posterai un article à ce sujet très bientôt. (note de Derwish Alawi, A.C.A.A - Amis du C. A. Alawî). Un groupe de notables indigènes nous demande l'insertion de l’article suivant : Dans son numéro du 13 courant le journal En Nadjah de Constantine a publié la lettre suivante adressée par un g...

La réunion des « Khouans » alaouites - La Presse libre 29/10/1928

Hier, dimanche, ont été convoqués à la Mosquée Djamaa Djeddid, les adhérents de la Confrérie « Alaouite », l'une des plus grandes et des plus importantes parmi les Confréries religieuses de l'Afrique du Nord. C’est le révérend Cheikh Sidi Ahmed Benalioua, « homme d’une très haute valeur intellectuelle et morale et auteur d’un grand nombre d’ouvrages, surtout dans la philosophie musulmane », fondateur de la Confrérie, réformateur inspiré et commentateur avisé du Coran, qui a présidé cette solennité. Des éloges et des apologies de l'œuvre du grand chef spirituel de l’Islam ont été dit par les mokaddems, les immams, les cheikhs accourus de l'Afrique du Nord tout entière, ainsi que par des médecins, avocats et notables commerçants indigènes d’Alger. Plus de 2.000 fidèles, en pèlerinage, ont assisté, à la cérémonie, dont l’éclat a été rehaussé par de beaux chants liturgiques de la Seddaïa de la Mosquée. M. Chekiken, conseiller général, a souligné, dans une allocution enflamm...

La zaouia de Mostaganem et le Cheikh Adda Ben Tounès - Le Phare de Tunis du 12/1952, 01/1953

Il existe plusieurs Zaouias à Mostaganem, mais le plus intéressante est sans conteste celle du Cheikh Sidi Hadj Adda Ben Tounès, Président de la Confrérie soufie « El Alaouia ». Mostaganem est une ville dont la partie arabe est nettement séparée de la ville européenne ; la nature du bien a imposé cette séparation, consistant en un profond ravin, laissant à chaque partie son caractère particulier. La ville arabe s’appelle Tijditt, c’est là que se trouve la zaouia Alaouia, face à la mer, qui devint célèbre parce que là reposent les cendres du Cheik El Alaoui et qu'il demeure vivant en ses foqaras (adeptes). Pour relater l'histoire de cette Zaouïa j’invite le lecteur à lire ce qu'écrivit le docteur Marcel Carret, de Tanger, européen d'origine, qui publia ses souvenirs du Cheikh El Alaoui , fondateur de cette confrérie soufie. Cette Zaouïa comprend deux constructions séparées par une route : à droite, c'est un large enclos, en grande partie à ciel ouvert, avec un préau...

Benallioua Ahmed - officier de l'ordre royal de l'Etoile d'Anjouan - L'Union 01/09/1927

Actes et Avis Officiels - ordres coloniaux Etoile d’Anjouan - Pour le grade de grand-croix - Sahraoui ben Mohamed, bachagha du Djebel-Nador. Etoile d’Anjouan - Pour le grade d’officier - Benabderrahmane Mohamed, professeur au Lycée d’Oran ; Benallioua Ahmed, chef de Confrérie à Mostaganem (il semblerait que le cheikh Alawi l'avait refusée) ; Benghabrit Abdelkader, cadi à Remchi ; Chargui Ben Abdellah, cadi à Aïn-Témouchent ; Fékar Larbi, instituteur en retraite, Aïn-Témouchent. Pour le grade de chevalier - Kadari Abdelkader, chef de Zaouïa à Frenda. Nichan el Anouar - Commandeur - Hamida Kaddour, conseiller général à Saïda. Officier. — Ammar Rabah, caïd à Ammi Moussa. Etoile noire - Commandeur - Hamou Mohamed, caïd à Frenda : Merabet Mohammed, caïd a Ammi Moussa. Officier - Abou Beker Abdesselam, professeur à la Médersa de Tlemcen : Belahouel Kaddour, chef de Zaouïa, à Mostaganem ; Ben Kritli Madani, docteur en médecine à Mostaga...

Index - Articles des journaux et magazines de l'époque

Index des a rticles des journaux et magazines de l'époque traitant le sujet de la confrérie Alaouïa et son maitre, par ordre d’apparition: 1893 - 1909 : L'Indépendant de Mostaganem - fonds de commerce 1909-10-30 : L'Écho d'Oran - Les obsèques du Cheikh Bouzidi 1913-03-01 : La Dépêche de Constantine - La zaouia des Allaouïa 1922-10-20 : Bône-journal - L’influence et le grand magnétisme du C. Benalioua 1923-08-26 : Le Petit Oranais - Pour la grande mosquée de Paris 1923-08-29 : Le Petit Oranais - La fête El Allaouia 1923-09-03 : L'Écho d'Oran - La Ouadda du cheikh si Ahmed Benallioua 1924-01-06 : Le Petit Oranais - Interview d'un chef musulman 1924-07-05 : L'Afrique du Nord illustrée - La Zaouïa de Mostaganem 1924-07-05 : Mostaganem - Attribution gratuite d’eau à la Zaouia de Tigditt 1924-09-07 : La Gazette de Mostaganem - Fête Religieuse à Mostaganem 1924-09-27 : L'’Afrique du Nord illustrée - Conversions 1925-01-01 : L'Afrique française - L...

Index - La Alawiyya et ses ramifications

De nombreuses voies soufies sont issues de l’Alawiya, et ces ramifications sont identifiées selon leurs maîtres et guides, non pas sur les principes (de la voie) et de l'éducation, car il n'y a presque pas de différence entre les différentes voies ramifiées de l’Alawiya que dans certaines phases dans l’orientation et dans l'éducation. Certaines ramifications actives de l’Alawiya ont à leur tour déployé d’autres rameaux également, ce qui nécessite un traçage historique. Mais je me limiterai à mentionner ici quelques-unes des ramifications de l’Alawiya ou les voies rameaux qui ont débouché de ses ramifications. Cette page contient les noms des maitres autorisés par le Cheikh Alawi à guider, ou par un de ses élèves, autorisé par son maitre, et ainsi de suite. Aussi les noms des moqqadems, qui ont la fonction de faire le rappel, de donner aux nouvelles recrues le pacte d’allégeance et les litanies générales (wird) seulement, ainsi que les noms d’un bon nombre de disciples q...

La zaouia des Allaouïa - La Dépêche de Constantine du 01/03/1913

Si l'on lit bien, déjà en 1913, la confrérie Allaouïa était à priori bien connue par son propre nom, bien avant 1914. Cette trace laissée dans un journal algérien de Constantine qui date du 01 mars 1913 met le doute sur l'année de nomination de la tariqa du cheikh Benalioua . Mais il se pourrait aussi qu'il est question de la Zaouia de Sidi Ben Ali dite « Aliouia » de Guelma , (Mohamed Ameziane ben Ali, dit Cheikh El-Haddad. Il a étudié dans sa Zaouia à Seddouk à Bejaia, jusqu’à ce qu’il obtienne son diplôme, avant de retourner à Guelma où il a construit sa Zaouia dans le village de Nador.) ( Note de Derwish Alawi). Madame Manamanni Bey ( ortho correcte : Malamli, famille d'origine turque de Constantine dont l'avant-dernier bey Manamanni Mohammed Ben Khan qui a gouverné le beylek de 1824 à 1826 ), à l’occasion de la nomination de son mari, a bien voulu nous faire parvenir la somme de 275 francs, en nous priant de la répartir de la façon suivante : 25 fra...

Le Cheikh Benalioua et la délégation musulmane - L'Écho du soir 17/07/1933

Nous avons reçu la lettre suivante que nous croyons devoir insérer, parce qu’elle met fin à de vains racontars : Monsieur le Directeur, J'ai l’honneur de solliciter l’hospitalité de votre vaillant journal pour y insérer l’article suivant : Réponse aux calomniateurs: Un proverbe arabe dit : « Lors que Dieu veut répandre une vertu, il lui crée des langues jalouses. » Dès le retour de France de la délégation musulmane, dans les conditions que l’on sait, quelques détracteurs bien connus à Bône et nous citerons les noms, le cas échéant, à la fois adeptes et apôtres d’une nouvelle doctrine étrangère à l’Islam (probablement les Wahabites de l'AOMA), firent courir le bruit, à dessein, que le Cheikh Benalioua, de Mostaganem, s’était opposé en personne à la délégation et qu’il en avait fait échouer les démarches. Certains poussèrent leur audace mensongère jusqu’à proférer qu’un télégramme, signé du Cheikh, avait été aperçu à Paris. Ces bruits tendancieux et mensongers circulèrent dans...

La Ouadda du cheikh si Ahmed Benallioua - L'Écho d'Oran 03/09/1923

Au point terminus du grand faubourg de Tidjditt, dominant la mer, se lève majestueusement une grande maison arabe dont la blancheur des murs révèle le secret de sa destination : c’est la grande Zaouia du Cheikh Benallioua, chef de la secte "El Allaouia". Ce chef spirituel, qui a succédé au vénéré marabout Sid Hammou El Bouzidi, a su, grâce à ses hautes qualités d'intelligence, son caractère affable, ses idées libérales et ses actes humanitaires, transformer sa secte en une imposante confrérie qui étend son action du Riff jusqu’en Tunisie. Elle compte, dit-on, actuellement, environ 100.000 adeptes, dont plus de 40.000 en Kabylie. Tel est le personnage qui nous a convié dimanche dernier à assister à sa grande fête annuelle, qui s’est déroulée pendant les journées des 25, 26 et 27 août (1923). Au cours de notre excursion dans ce temple religieux, nous avons pu admirer le coin de jardin où le cheikh goûte les délices du repos et de la solitude. C'est là aussi qu’il reçoit...

Le chemin du bonheur selon la conception musulmane - La Presse libre 21/12/1928

Ceci est la traduction d'un discours prononcé dans une mosquée d'Alger " Djamaa Djeddid " le 29 octobre 1928 à l'occasion de la réunion annuelle des alaouïas. "Louange à Allah seul. Le créateur de l'univers n'a mis les hommes au monde que pour qu’il en soit adoré et loué en compensation des bienfaits immenses et infinis dont il les a comblés. N’a-t-il pas fait de des êtres qui pensent, qui s'expriment pour se comprendre et se communiquer leurs idées ? ne les a-t-il pas doués de la vue pour admirer tout ce qu'il a créé de beau et de superbe ? il leur a donné la qualité d'entendre pour écouter les diverses et multiples voix de ces innombrables créatures, il les a surtout munis d'une conscience ; véritable tribunal incarné en eux-mêmes où se jugent tous leurs actes, leurs paroles et leurs intentions. Malgré tous ces privilèges, l'homme a toujours fait montre d'ingratitude envers son maître suprême. Comblé de bienfaits, il n'a...

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